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Montag, 26. September 2011

Évaluation et traitement

Évaluation et traitement

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Cette section du site vous donne accès à divers outils de travail et ressources professionnelles, notamment à :

  • des outils d’évaluation, de dépistage et autres documents de travail relatifs aux troubles concomitants, aux problèmes de toxicomanie et de santé mentale et autres sujets associés ;
  • des guides destinés au corps médical et au personnel infirmier ;
  • des documents d’information et des directives quant aux traitements et aux modèles thérapeutiques, ou encore aux diverses approches recommandées avec certains groupes de population ;
  • de l'information concernant les programmes de traitement a CAMH.

Tout comme les problèmes de santé mentale et de toxicomanie diffèrent d’un patient ou d’un client à l'autre et sont particuliers à chacun d’eux, il en va de même des besoins d’évaluation et de traitement de chacun. Selon le Centre de toxicomanie et de santé mentale, « un dépistage, un diagnostic et un traitement précoces permettent d'améliorer les résultats du traitement et de réduire la durée des épisodes et le nombre de rechutes. » Grâce à une meilleure connaissance des outils, des pratiques et des directives en matière d’évaluation et de traitement, l’état de santé des patients ou des clients s’en trouvera amélioré, les bienfaits qu’ils retireront des soins reçus seront accrus et l’efficacité du système de santé tout entier sera renforcée.

CAMH offre des Services d´interprétation culturelle par l'intermédiaire d´interprètes dûment formés pour clients dont la langue maternelle n´est pas l´anglais et ceux qui sont malentendants. Les services d´interprétation et de traduction de documents sont offerts dans une variété de langues, y compris le français

Toxicomanie et santé mentale


Toxicomanie et santé mentale

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Dans cette section vous trouverez divers liens menant à de l’information générale (brochures, fiches de renseignements et autres ressources en ligne) sur la toxicomanie, la santé mentale et les troubles concomitants, et que vous pourrez imprimer et donner à vos clients ou patients.

Ces renseignements vous fourniront :

  • un aperçu des diverses drogues qui existent et de la façon dont leurs usagers en font un usage abusif ;
  • un aperçu des maladies mentales et de leur impact sur le bien-être des gens ;
  • des moyens de prendre des mesures positives en vue de lutter contre la toxicomanie ou une maladie mentale ;
  • des conseils pour savoir par où commencer lorsqu’il s’agit de trouver un traitement.

CAMH vous offre la serie 101 sur plusieurs sujets liés à la toxicomanie et la santé mentale. Ce sont des cours en ligne faciles et gratuits. 

Les services aux clients ayant un double diagnostic doivent être améliorés

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Actualités

Par Kim Goggins
Été 2005, Vol 8 n°4

Les troubles du développement sont plus fréquents que n’importe quel autre trouble chez les patients des hôpitaux psychiatriques ontariens, touchant environ 19 pour cent des patients hospitalisés, mais pouvant atteindre 36 pour cent dans certains établissements. Toutefois, les besoins de ce groupe unique sont largement ignorés.
Cette lacune des services a donné lieu à une étude triennale dirigée par le Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) de Toronto, qui examine le profil de ce groupe de patients ainsi que ses besoins en matière de soins cliniques et de soutien. Selon le DYona Lunsky, chef de l’étude et psychologue du Programme de double diagnostic de CAMH, « les soigants et le personnel de soutien sont extrêmement frustrés par le manque de ressources pour leurs clients ».
Les personnes atteintes d’un trouble du développement ont plus de risques que le reste de la population d’avoir une maladie mentale, mais il existe peu de services spécialisés dans les hôpitaux psychiatriques et leur personnel est souvent mal préparé à gérer les clients ayant un double diagnostic (combinaison de trouble du développement et de problèmes psychiatriques). Actuellement, il n’existe que cinq unités spécialisées pour malades hospitalisés ayant un double diagnostic et huit programmes pour malades externes dans les établissements psychiatriques ontariens. Ces programmes ne desservent que 20 pour cent des clients ayant un double diagnostic. Le Dr Lunsky, professeure adjointe en psychiatrie à l'Université de Toronto, dit que plusieurs facteurs entravent les soins : le manque de ressources communautaires spécialisées, un financement limité, une formation insuffisante des professionnels de la santé mentale sur les troubles du développement et le manque de coordination entre le ministère de la Santé et des Soins de longue durée, qui subventionne les services psychiatriques, et le ministère des Services sociaux et communautaires, qui subventionne les services liés aux troubles du développement.
Lors de la première phase de l’étude, les chercheurs ont examiné les caractéristiques et les besoins de près de 13 000 patients, hospitalisés et externes, des hôpitaux psychiatriques ontariens en utilisant une base de données provinciale globale des projets d’évaluation de 1998 à 2002. Lors de la deuxième phase, ils ont enquêté auprès de neuf hôpitaux psychiatriques ontariens, ainsi qu’auprès de parties concernées des communautés, par le biais de visites sur le terrain, de groupes de discussion régionaux et d’entrevues avec des témoins privilégiés. L’enquête a révélé une préoccupation selon laquelle la plupart des membres du personnel ne recevaient qu’ une formation rudimentaire, si même ils en recevaient une, pour gérer les cas de double diagnostic. Ce manque de formation entraîne une médiocrité des soins, par exemple le fait de mal comprendre les comportements agressifs ou même le fait de poser un diagnostic erroné, ce qui peut conduire à un traitement inapproprié.
Selon Philip Burge, travailleur social et professeur adjoint en psychiatrie au département de psychiatrie de l'Université Queen de Kingston, en Ontario, « ces personnes sont aiguillées vers les services de traitement de la schizophrénie ou des troubles de l’humeur ou vers des services de réadaptation plus généraux et ne bénéficient d’aucun service spécialisé ».
Alex Conant, responsable de l’équipe mobile de consultation sur le double diagnostic du Providence Continuing Care Centre de Kingston, confirme la nécessité d’élargir les services spécialisés : « Les patients ayant un double diagnostic ne sont pas toujours en mesure de décrire avec précision leurs symptômes. Ils peuvent parfois recevoir plus de médicaments que nécessaire et ne pas être capables d’en signaler les effets secondaires, ce qui complique la tâche des personnes qui les soignent ».
Selon l’étude, les personnes ayant un double diagnostic ont tendance à passer plus de temps dans les hôpitaux psychiatriques que les autres patients. Bien que ces personnes aient besoin de niveaux de soins et de soutien plus élevés que le reste de la population, 12 pour cent seulement des quelque 400 patients ayant un double diagnostic et qui sont hospitalisés dans les hôpitaux psychiatriques ontariens devraient s’y trouver. Selon le Dr Lunsky, « globalement, les patients ayant un double diagnostic ont un niveau de soins recommandé supérieur à celui des autres patients mais ils n’ont pas pour autant un besoin supérieur en soins médicaux tertiaires ». Pourtant, 37 pour cent d’entre eux passent plus de cinq ans dans un hôpital. Ils continuent à y rester, non en raison de la gravité de leurs problèmes, mais parce qu’il n’existe pas de solution de rechange adéquate dans leur collectivité.
C’est pourquoi les spécialistes du double diagnostic demandent un accroissement des services communautaires. Les conclusions préliminaires de l’étude soulignent la nécessité de renforcer les moyens de soutien communautaires en santé mentale, comme les équipes communautaires de traitement actif et les établissements de traitement résidentiel qui proposent un soutien pour les besoins quotidiens ainsi que des services spécialisés comme du personnel infirmier en résidence, des interventions d’urgence et des liens directs vers des cliniciens dûment formés. Des lits réservés aux soins à court terme et aux soins de relève sont également nécessaires dans la collectivité, ainsi qu’une augmentation de la capacité d’accueil des hôpitaux généraux locaux.
La fourniture de soins appropriés passe bien évidemment par la disponibilité de ressources adéquates. Plusieurs nouvelles initiatives de financement des services de santé ont été adoptées au cours des deux dernières années, permettant la mise en place d’équipes spécialisées dans le double diagnostic, comme celle d’Alex Conant, qui couvre six comtés dans le Sud-Est de l’Ontario. L’équipe d’Alex Conant propose des consultations cliniques pour le traitement des clients ayant un double diagnostic, ainsi qu’une formation et une éducation, mais ses ressources sont ténues.
Le rapport final de cette étude, qui en est à sa deuxième année, sera publié en juin 2006. Le Dr Lunsky se montre optimiste et pense que les parties concernées tiendront compte des recommandations et reverront leurs pratiques pour mieux desservir ce groupe. L’étude a déjà contribué à rassembler les parties concernées : « Se rendre dans chaque région et donner aux gens l’occasion de s’exprimer a permis de tisser un réseau important et a mis les problèmes en évidence. Certaines personnes m’ont dit qu’elles avaient décidé de se rencontrer plus régulièrement pour mieux s’échanger leurs points de vue », a déclaré le Dr Lunsky.
Accédez au rapport de la phase 1 de l’étude

Les personnes atteintes d’un trouble du développement ont plus de risques que le reste de la population d'avoir une maladie mentale, mais il existe peu de services spécialisés dans les hôpitaux psychiatriques et leur personnel est souvent mal préparé à gérer les clients ayant un double diagnostic.

Imagerie du corps humain : Atlas d'anatomie

Système de référence en anatomie

Les trois principaux plans de l'anatomie des vertébrés : sagittal, transverse et frontal.
Un système de référence en anatomie, désigne la terminologie utilisée pour se repérer de façon précise dans la structure anatomique d'un organisme, humain ou non. Un système de référence anatomique repose sur un ensemble de plans et d'axes définis par rapport à la position standard de l'organisme décrit. Par exemple, on utilise cette terminologie pour indiquer l'orientation des coupes ou des vues utilisées dans les schémas et images en médecine ou en biologie humaine à partir de la position de Poirier, c'est-à-dire lorsque le sujet est debout face à l'observateur.

Sommaire

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Plans et axes de référence[modifier]

Plan médian et plans sagittaux[modifier]

Le plan médian est le seul plan qui sépare la moitié gauche de la moitié droite du corps. C'est l'un des innombrables plans sagittaux, qui sont tous parallèles à lui. Le terme "para-sagittal" doit être remplacé par celui de paramédian; celui de "médio-sagittal" prête à confusion et n'est donc plus officiel.
Pour indiquer la distance, on dira qu'on est situé en position médiale si on est proche du plan ou au contraire latérale quand on en est plus éloigné. Par exemple, chez l'homme, les yeux sont en position plus médiale que les oreilles.
Lorsque l'on décrit la position de plusieurs entités par rapport au plan médian, on dira qu'elles sont ipsilatérales ou homolatérales si elles sont toutes situées situées du même côté, soit à droite soit à gauche. Par contre, si une première structure est situé d'un côté du plan médian, et une seconde structure est situé de l'autre côté, on dira de ces deux structures qu'elles sont contralatérales ou hétérolatérales.
Dans l'anatomie des animaux multicellulaires à symétrie bilatérale (qui forment le sous-règne des bilateria), on trouve de nombreux organes pairs, c'est-à-dire constitués de deux moitiés symétriques, généralement positionnées de part et d'autre du plan médian. C'est le cas, par exemple du cerveau humain qui comprend deux hémisphères, un gauche et un droit.

Plan transverse ou transversal[modifier]

Un plan transverse ou transversal est un plan perpendiculaire au plan médian et qui sépare le corps en une partie craniale (du côté de la tête) et une partie caudale (du côté de la queue). En anatomie humaine, les plans transversaux sont horizontaux et séparent le corps en une partie supérieure (du côté de la tête) et une partie inférieure (du côté des pieds); c'est pourquoi on utilise aussi le terme plan horizontal pour désigner une coupe quelconque selon un plan transverse.

Plan coronal ou frontal[modifier]

Un plan coronal (ou frontal) est un plan perpendiculaire au plan médian et qui sépare le corps en une partie antérieure ou ventrale et une partie postérieure ou dorsale.

Axes de références[modifier]

Les principaux axes de l'anatomie des vertébrés
Axes de références chez l'être humain
Les axes de références sont définis perpendiculairement aux plans de référence.

Axe dorso-ventral[modifier]

L'axe dorso-ventral est perpendiculaire aux plans coronaux. Cet axe est le premier à se mettre en place durant l'embryogenèse vers le 6ème jour après la fertilisation1. Il correspond par la suite à la disposition topographique des structures primordiales du tube neural, qui sont dorsales par rapport à celles du tube gastro-intestinal.

Axe rostro-caudal (ou cranio-caudal)[modifier]

L'axe rostro-caudal est perpendiculaire aux plans transverses. Il est parallèle à la colonne vertébrale chez les vertébrés et plus généralement, chez les animaux à symétrie bilatérale, cet axe relie schématiquement l'orifice oral (ou rostre, rostrum signifiant en latin proue) à l'orifice anal (du côté de la queue, cauda en latin). Il correspond au second axe mis en place durant les premières étapes de l'embryogenèse. Pour la plupart des animaux, cet axe est horizontal et est donc aussi appelé axe antéro-postérieur. Par contre, cela n'est pas le cas chez les bipèdes pour qui le ventre est en avant, c'est pourquoi on préfère utiliser le qualificatif rostro-caudal de façon à éviter cette ambiguïté.

Axe droite-gauche (ou Axe horizontal)[modifier]

L'axe droite-gauche est défini comme orthogonal au plan médian. La brisure de symétrie qui conduit à la formation de l'organisation droite-gauche d'un organisme se produit aussi très tôt pendant l'embryogénèse2. Elle conditionne la latéralisation des organes internes. La condition souvent asymptomatique de situs inversus (ou situs transversus) se manifeste par une inversion totale ou partielle des organes par rapport au plan médian.

Anatomie humaine[modifier]

Position de référence ou position anatomique standard[modifier]

Position anatomique standard
Position anatomique standard
En anatomie humaine, la position de référence est celle à partir de laquelle on décrit toujours le corps humain, à l'âge adulte, en station verticale les critères sont :
  • le sujet en position debout, face à l'observateur ;
  • les jambes tendues, les talons légèrement disjoints et les pieds en légère rotation externe (la pointe des pieds légèrement écartée) ;
  • le regard à l'horizontale (plan de Francfort);
  • les bras pendants le long du corps ;
  • les avant-bras et les mains en supination (les mains ouvertes, la paume vers l'avant, le pouce en direction latérale, les autres doigts pointant vers le bas) ;
  • pour l'homme, le pénis au repos.
Du fait de la position bipède de l'être humain, certains plans et axes de références n'ont pas la même orientation spatiale que dans l'anatomie des autres animaux. Par exemple, l'axe rostro-caudal qui représente l'axe de la colonne vertébrale des vertébrés est horizontal chez les animaux quadrupèdes, mais vertical chez l'homme et les autres bipèdes. De plus, l'orientation est rendue encore plus compliquée par le fait que la tête fait un angle droit avec le reste du corps, si bien que la partie ventrale du crâne n'est pas tournée vers l'avant comme pour le reste du corps mais tournée vers le bas. On définit donc une position de référence pour la tête selon laquelle le plan de Francfort est horizontal, c'est-à-dire que le plan qui passe par le bord inférieur des orbites oculaires et le bord supérieur des conduits auditif est parallèle au sol dans cette position de référence. Cela correspond à un sujet debout regardant droit devant lui.

Imagerie médicale et conventions[modifier]

Traditionnellement, les images médicales sont bidimensionnelles. Elles représentent le plus souvent une coupe (ou la reconstruction d'une coupe virtuelle). Il se pose alors le problème de savoir comment est présentée l'image obtenue, notamment si ce qui est à droite sur l'image correspond à la partie droite du corps ou si, inversement la partie droite de l'image représente la partie gauche du corps. En effet, du fait de la symétrie bilatérale, il est facile de confondre la moitié droite et la moitié gauche d'un organisme.
Par exemple, dans la figure ci-dessus, la coupe frontale passe au niveau des bras. Si on la regarde de face, autrement dit en vue ventrale, la droite et la gauche sont inversées : le bras droit du patient apparaît sur la gauche de l'image et, réciproquement, le bras gauche est à droite de l'image. Par contre, si on regarde cette coupe depuis l'arrière, comme si on se plaçait dans son dos, i.e. en vue dorsale, alors le bras gauche du patient apparaîtra sur la partie gauche de l'image et le bras droit à droite. Le problème se pose de façon analogue pour les coupes transverses.
On utilise parfois la terminologie suivante pour distinguer ces différents types de vues. S'agissant des coupes transverses, on parle de type originel pour les coupes en vue de dessus (où la droite et la gauche ne sont pas inversées) et de type scanner dans les cas où la coupe est vue du dessous (actuellement, le mode le plus utilisé en anatomie).
Plus généralement, selon la convention radiologique en imagerie médicale, la partie droite de l'organisme est représentée sur la gauche de l'image. Par opposition, en convention neurologique, la droite et la gauche ne sont pas inversées sur l'image.

Spécificités liées à l'imagerie cérébrale[modifier]

L'une des difficultés vis-à-vis de l'imagerie médicale de la tête chez l'être humain tient au fait que l'encéphale n'est pas dans le prolongement du rachis mais forme un angle de telle sorte que, par exemple, la direction du regard est horizontale lorsqu'on se tient debout. Par conséquent, ce qui est en avant (antérieur) est ventral pour le reste du corps mais rostral (du côté du nez et de la bouche) s'agissant de la tête. De même la face ventrale du cerveau correspond à la partie inférieure de cet organe. Seul le plan médian reste le même pour la tête et le reste du corps.
En conséquence, une coupe axiale ou horizontale d'une tête humaine représentera le plan défini par les axes rostrocaudaux et droite-gauche alors que pour le reste du corps (ou pour une tête d'un animal non bipède), une telle coupe est définie par les axes dorsoventraux et droite-gauche si bien que les coupes axiales sont parallèles au lobe temporal chez l'homme mais perpendiculaire au lobe temporal chez un animal quadrupède comme le rat.

Qualificatifs d'orientation[modifier]

Qualificatifs d'orientation
Crânial ou céphalique en direction de la tête ou tout simplement supérieur. En embryologie, on utilise aussi l'adjectif rostral pour qualifier les futures structures antérieures de l'encéphale.
Caudal ou inférieur vers les pieds (historiquement la nomenclature anatomique servait aussi à décrire l'anatomie des animaux à quatre pattes, donc ce qualificatif désignait la direction de la queue, par opposition au museau ou au bec ou rostre) ; chez l'Homme le coccyx constitue le vestige de cet appendice et reste donc la référence pour le terme "caudal" ; on ne pourra donc pas appliquer cet adjectif aux éléments du membre pelvien (et par extension du membre thoracique) pour lesquels on préfèrera distal et proximal).
Latéral.
Médial ou médian, situé sur le plan médian du corps (plan de symétrie) ou dans l'axe longitudinal d'un membre.
Antérieur ou ventral qui regarde / est situé vers l'avant.
Postérieur ou dorsal qui regarde / est situé vers l'arrière. Dorsal désigne aussi la face arrière de la main et la face supérieure du pied.
Palmaire pour la face avant de la main, du côté de la paume.
Plantaire pour la face inférieure du pied, du côté de la plante.
Proximal proche de la racine d'un membre.
Distal proche de l'extrémité d'un membre.

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